Après une longue route, la Kazekage arriva a son village. Il franchit les portes, extrêmement bien gardé, puis se dirigeât vers son bureau. Il portait toujours Yuki, la jeune fille qu'il avait affronté, comme une princesse. Ainsi, ils arrivèrent dans son bureau.

Celui-ci était formé d'une grande pièce circulaire, dans laquelle se trouvait quelques bibliothèque, un bureau, quelques chaises. Au fond, de la salle, se trouvait une porte, donnant sur une petite chambre close que le kazekage avait fait aménager, pour les quelques fois ou, surchargé de travail, il décidait de rester dormir sur place.

Hideaki déposa Yuki, toujours endormie, sur le lit. Celle ci saignait toujours beaucoup. N'ayant pas le choix, et essayant du mieux qu'il pouvait de ne pas regarde la nudité de la jeune fille, il la mis torse nue, afin de la soigner de ses blessure causé par leur combat. Lorsqu'il eu fini, il la recouvris d'une couverture, afin quelle n'est pas froid, puis s'assit prés d'elle, attendant son réveil.

Cela faisait maintenant une petite demi-heure que Yuki dormait dans le lit du kazekage. Ce dernier, toujours a ses coté, vit qu'elle commençait à remuer. Enfin, cell-ci ouvrit les yeux, puis se releva d'un coup, se révélant nue devant Hideaki. Celui-ci ne détourna pas les yeux, et yuki, après un instant de surprise, releva précipitamment la couverture sur la poitrine.

Mais... Que voulez vous de moi... au juste?

Hideaki s'attendait a cette question. Il devait bien s'avouer que lui-même n'en était pas bien sur... Devant le regard soupçonneux et insistant de la jeune fille, il répondit néanmoins.

Et bien, comment dire... A l'instant ou je vous ai vu vous baigner, sous la cascade... Je pense que...

Hideaki s'arrêta... Il ne savait pas s'il devait continuer. Il changeât de direction, ceci, il pourrait lui dire plus tard.


Votre beauté ne ma pas laissé de marbre, bien au contraire... Il me semble bien n'avoir jamais vu de kunoichi aussi séduisante que vous de ma vie... Accepteriez-vous de rester au village quelques temps ? Je pense que nous pourrions nous connaitre un peu mieux, et j'ai le sentiment que nous pourrions avoir beaucoup de chose a apprendre l'un de l'autre...

Et bien, comment dire... A l'instant ou je vous ai vu vous baigner, sous la cascade... Je pense que...

Ce dernier s'arrêta de parler... Yuki vit que le Kazekage était légèrement timide, ceci la fit sourire tendrement. Elle trouvait sa mignon... Surtout de la part d'un homme...

Votre beauté ne ma pas laissé de marbre, bien au contraire... Il me semble bien n'avoir jamais vu de kunoichi aussi séduisante que vous de ma vie... Accepteriez-vous de rester au village quelques temps ? Je pense que nous pourrions nous connaitre un peu mieux, et j'ai le sentiment que nous pourrions avoir beaucoup de chose a apprendre l'un de l'autre...

Yuki rougissa suite a ses paroles, elle me s'attendait pas a se qu'on l'enlève pour cette raison... Elle le regarda ensuite puis baissa la tête ne sachant quoi dire... Dès qu'elle la releva elle prononça...

Yuki: Je... Je dois réfléchir a votre proposition. Mais je ne compte pas rentrer chez moi cette nuit en tout cas. Si c'est possible que je passe la nuit ici.

Elle regarda ensuite le jeune homme qui était assis en face d'elle...

Yuki*pensé*: Je ne sais pas si je pourrais réintégrer un village... Vu que j'ai déserter le mien.

Puis elle commença a rougir avant de poser cette question.

Yuki: Euuuh... où sont mes vêtement?

Hideaki vit la jeune fille rougir. Cela le fit sourir, il trouvait cela très mignon. Elle baissât la tête un instant, puis, la relevant, prononçât ces paroles :

Je... Je dois réfléchir a votre proposition. Mais je ne compte pas rentrer chez moi cette nuit en tout cas. Si c'est possible que je passe la nuit ici.

Hideaki sourit, et acquiesça. Il n'eut pas le temps de répondre qu'elle lui posait déjà une autre question, en rougissant encore plus.

Euuuh... où sont mes vêtement?

Le jeune kazekage rougit également. Sur le coup, il n'avait pas réfléchit, mais il avait fait cela pour la soigner, sans pensé a ce qu'elle pourrait en penser. Il s'embrouillait tous seul.

Et bien, vu comment vous étiez blessé.... comment dire... j'ai du vous soigner.... mais je n'ai pas regarder, promis ! enfin si, j'y été un peu obligé, mais... je vous assure que ce n'était pas voulu !! enfin, vos vêtement... Ah oui ! Mais non... Il sont dans l'armoire la... Mais vous ne pouvez pas les porter... Attendez, je vais vous en chercher...

Le kazekage sorti de la piéce environs 5 minute, le temps d'aller chercher des vétement a la bonne taille, puis les lui apporta, et se re-assis sur le lit.

Si vous saviez a quel points je suis heureux que vous acceptiez de seulement réfléchir a tout cela !

Hideaki vit la jeune femme lui sourir, puis regarder le sol, tristement. Il semblait que quelque chose n'allait pas, mais quoi ? Hideaki s'approchât d'elle, puis passa sa main sous son menton, et lui releva la tête. Leur visage n'était qu'a quelques centimètre l'un de l'autre.

Il me semble vous ne me dîtes pas tout... Je veux que vous sachiez que quoi que vous ayez fait, cela ne chance rien pour moi. Je sens qu'il y a beaucoup de bon en vous... Je vais allez dormir dehors, devant la porte. Vous pouvez dormir tranquillement, je ne laisserais personne s'approcher.

En disant ces parole, il s'apprêtait a reculer son visage, lorsque, soudain...

A ces mots, Yuki devint rouge écarlate. Hideaki sentait bien qu'elle avait confiance en lui, et cela était réciproque, il ne savait pas pourquoi, mais il sentait qu'il lui confirait sa vie sans hésiter. Le kazekage commença a se redresser, et amorçât un pas en arrière, lorsque la jeune fille lui saisis le bras et le tira vers elle.

Non, maitre Kazekage... Rester s'il vous plait...

Hideaki souri, attendrit par l'air timide de celle qui se tenait assise devant lui, à moitié nue.

D'accords, je vais rester dormir avec vous. Mais s'il vous plait, ne m'appelez plus maitre kazekage, Hideaki suffira...

a ces mots, Hideaki tira la couverture, et s'allongeât a coté de Yuki. Il avait juste oublié que cette dernière n'avait pas encore enfilé ses vêtements...