<< Passeport du Ninja ::

-Nom : Yume
- Prénom : Tsubaki
- Age : 32 ans
- Lieu de Naissance: Kirigakure no Sato
- Village.: Kumogakure no Sato
- Rang. : Raïkage si possible
- Affinité Primaire.: Raïton (et Suiton)

Physionomie du Shinobi (5 lignes minimum) :

Toute sa silhouette n’était qu’une grâce. Son corps, pâle, aux muscles fins et aux attaches délicates, semblait avoir été sculpté par un artiste perdu dans ses déambulations oniriques. Elle s’était, depuis bien des années maintenant, épanouie, telle une fleur de cerisier caressée par le vent du matin, sur laquelle s’égoutte quelques perles de rosée encore fraîche, se préparant à s’évaporer sous les rayons dardés par le soleil qui allait peut-être devenir ardent ; après une longue maturation tenue close, elle s’était ouverte délicatement, ses pétales s’offrant à l’astre solaire dans toute leur splendeur nacrée, sa lueur tiède caressant leur chair lisse et soyeuse, telle du velours neuf nouvellement tissé ; puis après quelques temps d’ouverture de sa venaison délicieuse, écartée au jour à la manière de jambes de danseuse de cabaret, se préparant aujourd’hui à une chute inexorable et inéluctable, à laquelle toute chose doit se plier avec respect ; mais pas encore, non, pour le moment, la fleur restait liée fermement à sa branche, s’y collant avec un acharnement de bon aloi – mais pour combien de temps, encore ?


Ses mains, étonnamment délicates et fines, semblaient des croquis préparatoires de peintre projetant le tableau d’un ange, dont les doigts, au nombre logique et naturel de cinq chacun, étaient interminables – comparés à la moyenne du commun des mortels, ce qui se traduisait par une longueur d’environ une phalange de plus que la plupart des êtres humains –, aboutissaient sur des ongles remarquablement propres, élagués de manière simple mais symétrique, et se situaient évidemment dans le prolongement de paumes moelleuses mais jamais moites – des pattes de chat, peut-être – elles mêmes rattachées par un poignet souples à des avant-bras faits, dirait-on, de manière fort correcte.


Son buste, lisse et imberbe, devait lui aussi avoir été bâti par le même architecte brillant et malingre, inspiré par des puissances dépassant l’entendement humain au point même de leur conception, semblait poli et lustré ainsi qu’un bois de cerf sauvage, poitrine aux seins singulièrement bien dessinés mais non proéminents et sur-développés, et d’abdominaux, bien que non semblables à ceux d’un culturiste forcené et malade, plats et finement crayonnés, un corps tout en juste mesure et en sveltesse, et jamais trop de chair ne venait troubler l’oeuvre superbe.


Ce que peu savent, par contre, est que son dos admirable se trouve barré d'une profonde cicatrice, allant de son épaule gauche à sa hanche droite, zébrant son corps de nacre en un éclair rosé, une ancienne blessure, souvenir laissé par une vie pour le moins mouvementée, ou agitée plutôt, au bords s'écartant autour d'une bande de peau fine et lisse, comme laquée. elle prend soin de la cacher la plupart du temps, par pudeur peut-être, comme pour garder un secret, mais lequel? La seconde chose est un tatouage de taille moyenne, sur sa hanche gauche - à l'opposé donc de la balafre. Peu de gens peuvent se vanter d'avoir conaissance de ces deux détails, et encore moins de connaître leur histoire.


Le corps lui-même, était tout entier recouvert, tel un présent d’amant pâmé, d’un derme à la carnation hâve mais plaisante, veloutée, transparente même par endroits, laissant voir des veines bleuâtres et blêmes par endroits, au creux des coudes, là où la peau devient fine comme du papier de riz, à l’intérieur des bras, à l’évidé des cuisses, près du bassin.


À l’extrémité d’une gorge candide et pure, seulement ponctuée par un grain de beauté sombre qui ajoutait au charme du personnage, où reposait sur une nuque de satin des mèches d’une chevelure d’ébène plus noire que du charbon, ou chaque brin de cheveux était fin comme un dixième d’aiguille, et raide comme s’il s’était s’agi d’une épingle d’acier, paradoxalement, toutes les mèches étaient aussi douces que la fourrure moirée d’un chat majestueux, celles pouvant gêner la vue étant ramenées sur le haut du crâne par un lien de cuir teint en un blanc cassé pouvant rappeler vaguement la couleur des hirondelles sauvages parcourant le ciel au retour de la migration ; deux mèches semblables mais plus longues que les autres arrivaient jusqu'à un menton effilé mais non trop long ou crochu, que surplombait une bouche rouge pâle, dont les lèvres auraient pu être celles d’une jeune fille tellement elles étaient bien faites, cachant la cavité d’une bouche sombre abritant des dents parfaitement symétriques à l’émail rutilant et brillant, comme des défenses d’éléphant, et une courte langue pointue de couleur vermeil et vive. Plus haut encore, un nez plutôt simple se dessinait sur ce visage taillé dans le marbre le plus pur ; des narines délicates dans le prolongement des lèvres suscitées.


Dominés par de courts sourcils généralement taillés de manière à les mettre en valeur plus encore qu’ils ne le sont de nature, c’est-à-dire fascinants, deux puis d’émeraude insondables pour les âmes passantes, deux billes identiques sublimes, brillantes de toutes les émotions possibles et inimaginables ; mélange logiquement impossible d’espoir, de désir, de lassitude, de fraîcheur, d’expérience, de force, de douceur, de rudesse, le tout transcendé dans la fusion, soulignées par un tatouage imitant un maquillage de ténèbres, allongeant les regards, un trait long et sombre, reliant les coins extérieurs des yeux aux tempes dans une courbe à la vue de laquelle on comprend que la beauté existe, et encadrant entièrement les paupières, avec une pointe dans le coin intérieur, accentuant le regard de félin originel. Enfin, le front, lisse et impeccable, un peu haut peut-être, se terminant sur le début de la chevelure raide d’ébène.


En guise de costume, un traditionnel vêtement d’entraînement, confortable et léger, fait de dizaines de bandes de tissu d’excellente qualité d’une couleur ocre clair entrecroisées, laissant la gorge précédemment décrite ouverte aux vents caressants du pays, retenues par une simple bande de la même matière comme ceinture, et deux pans de manteau dont la nuance oscille entre le tabac et la châtaigne reposant sur les épaules, libres de flotter à tous les zéphyrs, enfin, un agréable pantalon de toile de qualité identique ; et un unique bracelet d’argent extrêmement simple au poignet gauche. Ce qui tranche radicalement de sa tenue d'éclaireuse ( présentée en avatar ).


Mais cela n'était que le tableau magnifique, que la peinture superbe, que le croquis sublime, que la sculpture de l'artiste au talent sans aucunes limites qu'était la nature. Ce qui frappait, oui frappait était le mot tant l'on était heurté par cette vision, était sa façon de se mouvoir, semblable à celle d'une animale, rapide, furtive, sans jamais un geste inutile, une démarche souple et glissée qui ne la quittait jamais, attentive à tout instant, ses yeux de jade observant toute chose, même anodine, avec une apparente omniscience proprement dérangeante; elle semblait tout voir avec la même acuité, telle une fauve, une traqueuse soyeuse, une panthère. Plus terrifiante encore, sa colère, se déchainant. Semblable aux rois de la création précédemment cités, elle retroussait ses lèvres comme des babines sur ses canines un peu plus longues que la moyenne, un grondement sourd sortant de sa gorge; dans une posture légèrement courbée, semblant être sur le point de bondir sur la source de son courroux pour le déchiqueter avec une violence qu'on devine inouïe entre ses crocs et ses griffes acérées. .


Psychologie du Shinobi (5 lignes minimum) :

Une âme de battante, voilà qui caractérise bien notre kunoichi, celle n'hésitera pas a se battre contre plus fort qu'elle, c'est dans sa nature, elle est plus affirmé que sa sœur Suzumi qui elle est une fille timide et renfermée, enfin bref là n'est pas le sujet. Pour revenir a Tsubaki : elle a une force d'esprit qui montre beaucoup ses sentiments, et affiche la plupart du temps des expressions comme le commun des mortels, cette fille n'est peut-être pas un exemple sur le plan moral, mais a trop montrer ses sentiments peuvent montrer des failles chez l'ennemi et créer des foutaises telle que la surprise, la contrariété, l'énervement, mais cela peut s'avérer être utile quand on sait bluffer sur ça, et Tsubaki se débrouille très bien en menant à la baguette les gens qui l'ennuie, on peut dire que la force de Tsubaki ne réside pas que dans ses poings mais dans sa tête , elle est apte a monter des stratégie et manipuler les gens qu'elle déteste, mais passons sur les mauvais traits. Nous pouvons affirmer que le tempérament de feu de Tsubaki a pu la mener loin, elle était autrefois chef des interrogatoire de Kirigakure, du temps où elle en faisait parti, elle put avec son mentale sans faille, déceler les secrets de ces ennemi, peut-être est-ce la force de réflexion ?

Que dire de plus ? J'oubliais en temps libre Tsubaki est une fille assez ouverte, pétillante, mais des fois elle aime beaucoup être seul est 'entraîner, il ne faut surtout pas la déranger. Le monde des ninja l'a toujours fasciné et veux en connaître le plus possible, mais elle sait bien que tout savoir est impossible mais bon comme d'habitude elle sera faire avec.



<< Background du Ninja ::

Histoire du Shinobi (15 lignes minimum) ::


Tsubaki est née dans le village caché de Kiri, dans une famille plutôt riche du village, elle était déjà petite fascinée par le ninjutsu, et armes ninja, c'était pour elle de vrai jouet, plus tard, a 6ans elle recevra son premier entraînement avec son père celui-ci l'adorait, et était fière d'elle, il était heureux qu'elle dore l'image de la famille Yume, c'était un enchantement pour lui. Mais quand vint au monde la sœur de Tsubaki, une petite fille douce comme miel appelé Suzumi, qui veux dire Réaliser, au départ c'était un petit bonheur de vivre tous ensemble c'était une parfaite famille, une bonne entente, enfin bref, mais quand le père et chef de la famille s'apperçut que Suzumi n'était pas l'égal de sa soeur il se mitn vite à être violent avec elle, il était méchant, et attendait trop de cette petite fille fragile, les scène de "battage" et d'injures choquaient beaucoup Tsubaki qui aimait réellement sa soeur, elle ne savait pas pourquoi le ninja qu'elle admirait était si méchant et cruel.

Tsubaki grandit aux côté de sa sœur, et se perfectionna et passa les examens des Gennin avec brio, mais bon cette épreuve était pas très révélatrice vu qu'une bonne partie des ninja de Kirigakure la réussissait mais c'était a l'examen des Chuunin que les chose se corsent, car cet examens a pour but de montrer la sauvagerie, et l'aptitude a tuer de ces ninjas, cela froissait vraiment Tsubaki qui décida de partir de ce village sans scrupule, elle fit ces adieux a Suzumi, qui ne tarissa pas de larme a son égard, la jeune fille avait que 12 ans lorsque Tsubaki décida de prendre son envol et partir vers d'autres contrée, en effet Kiri et ces lois meurtrière , et surtout son Kage qui n'hésitait pas de tuer ses ninja l'horripilait fortement donc elle parti vers un pays qui était fait pour elle, un pays où les gens montreront leurs valeur par des épreuve très révélatrice et non entaché par du sang et qui rajoute a ce village un soupçon inhumanité, en effet on peut dire que Tsubaki était très mature pour son jeune age.

Tsubaki partit longtemps, elle erra dans le monde shinobi pendant 6 longs mois, six long mois a marcher, six longs mois a errer et éviter les Oi-nins de Kiri, qui la traque sans cesse, c'était très dure pour elle... au bout d'un temps de marche elle crut que ce village n'existait pas donc elle s'arrêta aux portes de se qui devait être un village caché, les ninjas qui y vivait dedans semblait être heureux, et ce village était assez jolie en apparence, c'était Kumogakure, le village caché des nuages, elle se fit prendre par les gardes qui la jetèrent en prison, elle resta dans ces prisons une bonne semaine, jusqu'à ce qu'un grand et fort homme lui dit qu'elle était libre, en effet c'était le Raikage, le chef de la prestigieuse famille des Yotsukii, il lui avait proposé un ultimatum, bien sure sans beaucoup de tact sa va de soi, il lui dit qu'elle pouvait rester au village que si elle devenait son élève, en effet son caractère et sa combativité avait plut a celui-ci. C'est a partir de se jour que Tsubaki devint membre du village de Kumogakure no satô

Bienvenu Je suis d'accord aussi Alors c'est bon ^^